La musique de Juliet Palmer a pris vie sous une bretelle d'autoroute, dans une piscine, dans les débris de plastique d'une plage isolée et dans des salles de concert en Amérique du Nord, en Europe et en Océanie. Originaire d'Aotearoa en Nouvelle-Zélande, Juliet habite à Toronto où elle est directrice artistique d'Urbanvessel, une plateforme de collaboration interdisciplinaire.

Recent works: Choreography of Trauma (for The Element Choir, Continuum ensemble and video) celebrates the thousands of small gestures that save a life; Oil & Water (for the Detroit Symphony Orchestra) chronicles the ecological and political watershed; Every Word Was Once An Animal with artists Carla Bengtson and Jessie Rosa Vala and choreographer Darion Smith (Jordan Schnitzer Museum of Art, Oregon) explores inter-species communication through dance, music, scent and image; Ukiyo, floating world (Urbanvessel and Thin Edge New Music) follows the drift of ideas and plastic across oceans; while the a cappella opera Sweat is a window into the lives of the unseen millions who work to clothe us (CalArts, Los Angeles; Bicycle Opera, Canada; National Sawdust, New York). Recordings include: small excesses (Atoll ) and rivers (Barnyard Records).

Juliet a été compositrice en résidence à la New Zealand School of Music and Orchestra Wellington (2011-2012) et artiste en résidence du CAO au Sunnybrook Research Institute (2018). Elle est lauréate du prix Elaine 2018 Lebenbom du Detroit Symphony, Chalmers Arts Fellow (2018-19) et finaliste du Johanna Metcalf Performing Arts Prize (2019).

Juliet est titulaire d'un doctorat en composition de l'Université de Princeton et d'une maîtrise en musique en performance, composition et art temporel de l'Université d'Auckland.